La traduction doit être considérée comme un projet à part entière. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises rencontrent encore des complications dans leur processus d’internationalisation liées à la traduction. En voici deux exemples* :
LE CAS ELECTROLUX :
Pour promouvoir ses aspirateurs, Electrolux avait fait paraître une campagne aux Etats-Unis : « Nothing sucks like an Electrolux », littéralement « Rien n’aspire comme un Electrolux ». Mais aux Etats-Unis, l’expression « It sucks » ou « sucks » signifie surtout « Ça craint » ce qui donne au final « Rien est aussi nul qu’un Electrolux ».
Une traduction aux conséquences lourdes pour la marque en termes de réputation et de résultats financiers sur le marché visé.
LE CAS DE L’ENTREPRISE X :
Une entreprise de distribution rencontrait des difficultés pour proposer des produits adaptés aux marchés dans les délais. La raison, un délai de huit semaines était nécessaire pour traduire les versions multilingues de son site marchand. Un délai beaucoup trop long pour être compétitif sur le Web.
TRADUCTION ET E-COMMERCE
Réussir un projet de e-commerce à l’international, c’est intégrer la traduction comme une composante à part entière et dès la conception du projet. Confier cette tâche à votre webmaster peut s’avérer risqué. Bilis Traduction peut vous accompagner dans la localisation de votre site internet.
* Source : http://www.journaldunet.com/